Evocation de la vie
et de la destinée du patron de syndicat Jimmy Hoffa, rebaptisé ici Johnny Kovac, F.i.s.t., (poing) réalisé en 1978 par Norman Jewison, offre à Sylvester Stallone un rôle à sa
(dé)mesure.
Dans la lignée de Rocky et de Rambo, il s'investit d'ailleurs à cent pour cent, participant là encore à l'écriture du scénario.
Si la réalisation de NJ (l'Affaire Thomas Crown) manque de finesse, le portrait lui ne manque pas de force.
Dans les années 30 aux Etats-Unis, face aux démonstrations de force patronale (milices et autres briseurs de grève) les routiers n'ont pas d'autre choix ("on a toujours le choix") que de s'allier à des voyous et plus tard à la mafia.
Syndicalisme, mafia, politique et trahisons sont donc les ingrédients de ce film qui mérite d'être redécouvert.
A comparer au Hoffa de Danny de Vito avec Jack Nicholson de 1992.
Dans la lignée de Rocky et de Rambo, il s'investit d'ailleurs à cent pour cent, participant là encore à l'écriture du scénario.
Si la réalisation de NJ (l'Affaire Thomas Crown) manque de finesse, le portrait lui ne manque pas de force.
Dans les années 30 aux Etats-Unis, face aux démonstrations de force patronale (milices et autres briseurs de grève) les routiers n'ont pas d'autre choix ("on a toujours le choix") que de s'allier à des voyous et plus tard à la mafia.
Syndicalisme, mafia, politique et trahisons sont donc les ingrédients de ce film qui mérite d'être redécouvert.
A comparer au Hoffa de Danny de Vito avec Jack Nicholson de 1992.